DES LARMES DANS MES YEUX, DU NOIR DANS MON CŒUR, ET LA MORT AU BOUT DU CHEMIN... LES FAITS :
J'ai subi pendant des années du harcellement moral et psychologique au sein du service dans lequel je travaillait depuis huit ans par deux de mes collègues.
Discréditée, humiliée auprès de la hiérarchie et même du médecin du travail M. V...chose), par les mensonges et les manipulations qu'elles maitrisent parfaitement, une d'entre elles ma même traité de "schizophrène", je crois qu'elle ne connait même pas la signification de ce mot.
Les mêmes collègues que j'ai formé lorsqu'elles sont arrivés dans le service...Le jour ou elles ont estimé que je n'avais plus rien à leur apprendre, elles ont décidé de me mettre dehors "elles ont réussi".
Le conseil bienveillant des autres collègues ou de la hiérarchie était :
"Change de service !!!"
J'ai changé de service...
Je me retrouve aujourd'hui dans la même situation, harcelé cette fois-ci par le chef de service...Tout et n'importe quoi est prétexte à me mettre plus bas que terre, mais pas seulement moi, j'ai appris que neuf de mes collègues sont partis du service avant que j'arrive dans celui-ci...Il lui faut un souffre douleur...Et cette fois-ci c'est mon tour...Fragilisé, il à trouver mon point faible pour faire de moi son souffre douleur...
Mes anciennes collègues continuent tranquillement a harceler celles qui remplacent celles qui partent...La hiérarchie dans tout ça...(?)
Tout ceci pour dire qu'il ne faut pas déplacer le problème, mais l'affronter...Pas facile me diriez-vous, certes, je remets toujours au lendemain en me disant ça va passer, NON ça ne passe pas, ça EMPIRE...
Il faut le vivre pour le comprendre, celui qui n'a jamais vécu ça, ne comprendra pas, et ne sera pas à même de vous aider, parce qu'un jour le trop plein vous fait passer à l'acte et vous vous trouvez allongé sur un lit d'hôpital sans comprendre pourquoi vous y êtes...Et là, vous en voulez au monde entier de ne pas vous avoir laissé partir en Paix, vous êtes toujours dans ce monde qui n'est pas le votre, dans lequel vous ne vous reconnaissez pas !!!
Suivi pendant des années par (des) psychiatres, bourrée d'antidépresseurs, je suis toujours dans cette souffrance qu'on surnomme « moral et psychologique », je me fais du mal (en faisant souffrir mon corps), je culpabilise, (tout est de ma faute) j'ai de la colère, (parce que je n'ai pas le courage d'affronter celui qui me harcèle) et le sentiment d'injustice qui grandit de jour en jour me ronge de l'intérieur...Et puis au fil du temps la peur s'installe, et l'envie de mourir est là...Il suffit d'un rien pour que ça bascule...
On ce dit « Il ne faut pas que je me rate cette fois-ci » et vous commencez à ce moment précis à échafauder et à planifier votre mort...
Il serait si facile de lui dire ;
« Foutez-moi la Paix », « Lâchez-moi »
NON ce n'est pas si facile...Quand les larmes coulent le long de vos joues, quand vous avez envie de fuir et que vous ne pouvez pas, quand l'injustice vous immobilise...Quand les collègues assistent et ne réagissent pas...Vous êtes seule au monde la main tendu, mais personne pour venir à votre secours...
Lâcheté ou peur d'être harcelé à leur tour... ?
Et puis vous vous dites, « s'ils ne font rien c'est qu'il doit y avoir une raison !», donc c'est de ma faute, « remise en question », et vous leur posez la question ; « Dites-moi suis-je trop susceptible ? » « Il est bien sur mon dos tout le temps...il ne m'a pas adressé la parole de la journée...Je rêve, je me fait des idées ?» et vous vous entendez dire de la part de vos collègues... ;
"Non rassure-toi tu n'est pas folle, tu ne te fais pas des idées, il est bien sur ton dos...Ce n'est pas une idée mais une certitude ! "
A ce moment dans votre tête un tourbillon de questions s'affolent au portillon ; "Pourquoi cet immobilisme général, pourquoi vous ne faites rien pour m'aider, pourquoi vous ne venez pas à mon secours..."
Mais rien ne sort de ma bouche, fragilisé par la situation, je pars m'enfermer dans les toilettes pour laisser éclater ma souffrance et cacher la honte d'être si faible...En me disant ÇA VA PASSER !!!
Voilà pour aujourd'hui, demain est un autre jour...
Discréditée, humiliée auprès de la hiérarchie et même du médecin du travail M. V...chose), par les mensonges et les manipulations qu'elles maitrisent parfaitement, une d'entre elles ma même traité de "schizophrène", je crois qu'elle ne connait même pas la signification de ce mot.
Les mêmes collègues que j'ai formé lorsqu'elles sont arrivés dans le service...Le jour ou elles ont estimé que je n'avais plus rien à leur apprendre, elles ont décidé de me mettre dehors "elles ont réussi".
Le conseil bienveillant des autres collègues ou de la hiérarchie était :
"Change de service !!!"
J'ai changé de service...
Je me retrouve aujourd'hui dans la même situation, harcelé cette fois-ci par le chef de service...Tout et n'importe quoi est prétexte à me mettre plus bas que terre, mais pas seulement moi, j'ai appris que neuf de mes collègues sont partis du service avant que j'arrive dans celui-ci...Il lui faut un souffre douleur...Et cette fois-ci c'est mon tour...Fragilisé, il à trouver mon point faible pour faire de moi son souffre douleur...
Mes anciennes collègues continuent tranquillement a harceler celles qui remplacent celles qui partent...La hiérarchie dans tout ça...(?)
Tout ceci pour dire qu'il ne faut pas déplacer le problème, mais l'affronter...Pas facile me diriez-vous, certes, je remets toujours au lendemain en me disant ça va passer, NON ça ne passe pas, ça EMPIRE...
Il faut le vivre pour le comprendre, celui qui n'a jamais vécu ça, ne comprendra pas, et ne sera pas à même de vous aider, parce qu'un jour le trop plein vous fait passer à l'acte et vous vous trouvez allongé sur un lit d'hôpital sans comprendre pourquoi vous y êtes...Et là, vous en voulez au monde entier de ne pas vous avoir laissé partir en Paix, vous êtes toujours dans ce monde qui n'est pas le votre, dans lequel vous ne vous reconnaissez pas !!!
Suivi pendant des années par (des) psychiatres, bourrée d'antidépresseurs, je suis toujours dans cette souffrance qu'on surnomme « moral et psychologique », je me fais du mal (en faisant souffrir mon corps), je culpabilise, (tout est de ma faute) j'ai de la colère, (parce que je n'ai pas le courage d'affronter celui qui me harcèle) et le sentiment d'injustice qui grandit de jour en jour me ronge de l'intérieur...Et puis au fil du temps la peur s'installe, et l'envie de mourir est là...Il suffit d'un rien pour que ça bascule...
On ce dit « Il ne faut pas que je me rate cette fois-ci » et vous commencez à ce moment précis à échafauder et à planifier votre mort...
Il serait si facile de lui dire ;
« Foutez-moi la Paix », « Lâchez-moi »
NON ce n'est pas si facile...Quand les larmes coulent le long de vos joues, quand vous avez envie de fuir et que vous ne pouvez pas, quand l'injustice vous immobilise...Quand les collègues assistent et ne réagissent pas...Vous êtes seule au monde la main tendu, mais personne pour venir à votre secours...
Lâcheté ou peur d'être harcelé à leur tour... ?
Et puis vous vous dites, « s'ils ne font rien c'est qu'il doit y avoir une raison !», donc c'est de ma faute, « remise en question », et vous leur posez la question ; « Dites-moi suis-je trop susceptible ? » « Il est bien sur mon dos tout le temps...il ne m'a pas adressé la parole de la journée...Je rêve, je me fait des idées ?» et vous vous entendez dire de la part de vos collègues... ;
"Non rassure-toi tu n'est pas folle, tu ne te fais pas des idées, il est bien sur ton dos...Ce n'est pas une idée mais une certitude ! "
A ce moment dans votre tête un tourbillon de questions s'affolent au portillon ; "Pourquoi cet immobilisme général, pourquoi vous ne faites rien pour m'aider, pourquoi vous ne venez pas à mon secours..."
Mais rien ne sort de ma bouche, fragilisé par la situation, je pars m'enfermer dans les toilettes pour laisser éclater ma souffrance et cacher la honte d'être si faible...En me disant ÇA VA PASSER !!!
Voilà pour aujourd'hui, demain est un autre jour...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire